L’histoire du Québec en films

Chaque époque et chaque civilisation a sa propre notion de la vie, de la mort et de l’au-delà. Ainsi, les cimetières, du simple enclos paroissial au jardin à la française avec ses allées et grand portail en fer moulé richement décoré, sont en quelque sorte le reflet des sociétés qui les créent. À travers l’histoire des cimetières du Québec, ce film retrace l’évolution des mentalités, des croyances, des coutumes et des structures sociales du XVIII^e siècle à nos jours.

Le film se déroule en 1949 dans un collège de garçons et relate l’histoire d’un frère enseignant convaincu que les vikings se seraient installés dans la région de Charlevoix, et seraient donc les premiers découvreurs de l’Amérique. Sûr de son fait, il entraîne ses jeunes étudiants dans d’importantes fouilles archéologiques, et, ce faisant, tente de ramener dans le droit chemin un élève en phase de décrochage.

Un grand documentaire sur le Québec et un éditorial cinématographique virulent à l’occasion du référendum de mai 1980 sur la souveraineté-association. Couvrant les événements, le cinéaste sort la défaite référendaire du Parti québécois de son contexte local et la confronte au jugement de l’Histoire, en la soumettant au feu d’une critique acerbe sous la forme de citations extraites de l’œuvre de Nicolas Machiavel.

Sous l’œil de la caméra, un coq va naître des mains de l’artisan et reprendre sa place traditionnelle sur le clocher d’une église, en signe de protection et de vie. Claude Huot de Chambly nous fait partager toute son émotion devant une œuvre qu’il façonne à l’image du Québec et qu’il transmet en héritage aux générations futures.

Récit dramatique relatant la traversée de l’Atlantique jusqu’à la Baie James par Henry Hudson et son équipage. S’il se termina par une faillite, le dernier voyage de Henry Hudson n’en jeta pas moins les bases de la future colonisation de l’Ouest canadien.

En 1944, dans la campagne québécoise, un journaliste obtient les témoignages des parents d’un jeune déserteur afin de connaître les événements et les malentendus ayant conduit à sa mort aux mains des policiers de la Gendarmerie Royale du Canada. (Canoe.ca)

À 75 ans, Ariane remonte le fil de sa vie. À travers son récit et grâce à un montage minutieux et subtil de milliers de bouts de pellicule tournés par des amateurs entre 1925 et 1980, c’est toute l’histoire des femmes du Québec que tisse ce film, depuis l’époque du défrichement jusqu’au féminisme moderne.