100 ans de production et de diffusion de notre histoire

En 2015, la Fondation Lionel-Groulx et l’Institut d’histoire de l’Amérique française ont organisé un colloque à l’occasion du centenaire de la première Chaire d’histoire du Canada français, attribuée en 1915 à Lionel Groulx par l’Université de Montréal. L’événement s'est déroulé les vendredi 17 et samedi 18 avril à l’Auditorium de BAnQ Vieux-Montréal, situé au 535, avenue Viger Est, à Montréal.

 

Allocution de Claude Béland, président du conseil de la Fondation Lionel-Groulx

Conférence d’ouverture sur Lionel Groulx

1ère séance – La sensibilité historienne de Lionel Groulx

2e séance – Groulx dans la cité

3e séance – Table ronde : le rapport à l’histoire depuis Groulx

4e séance – La vulgarisation et la diffusion de l’histoire

Fichiers à télécharger

En plus du programme du colloque, la Fondation Lionel-Groulx met à votre disposition l’intégralité de son enregistrement audio. Si vous ne pouvez écouter les séances depuis votre navigateur, téléchargez un lecteur compatible avec Ogg Vorbis, comme par exemple le lecteur VLC.

 

Remerciements

Comité organisateur : Jacques Beauchemin, Éric Bédard, Harold Bérubé, Robert Comeau, Karine Hébert, Martin Pâquet.

Comité scientifique consultatif : Louise Bienvenue, Jacques Beauchemin, Éric Bédard, Michel Bock, Lucia Ferretti, Xavier Gélinas, Julien Goyette, Karine Hébert, Jonathan Livernois, Marie-Pier Luneau, Julien Prud’homme.

Le colloque a été l’occasion du lancement d’une petite brochure de 54 pages qui contient la transcription de deux conférences données par l’historien Lionel Groulx en novembre 1965, à l’Université de Montréal, à l’occasion du 50e anniversaire de la Chaire d’histoire du Canada.

En fondant l’Institut et la Revue d’histoire de l’Amérique française, de même que l’Institut d’histoire de l’Université de Montréal, Groulx a offert à ses successeurs un ancrage institutionnel et une tribune à partir desquels ceux-ci seraient à même d’exercer leur métier de professeur d’histoire, et même de contester leur maître à penser.