À l’époque de la Nouvelle-France, les de Lanaudière, seigneurs et militaires, ont fait fortune. La Conquête britannique de 1760 force l’élite de la colonie à faire un choix : rentrer en France ou s’adapter. Les Tarieu de Lanaudière choisissent de rester. Favorisés par le gouverneur Carleton, ils récolteront privilèges et honneur, multiplieront et cumuleront les postes.
Pourtant, n’avaient-ils pas perdus le patronage du roi de France ? N’étaient-ils pas privés de leurs émoluments d’officiers et des revenus tirés du commerce des fourrures? De plus, une nouvelle élite se mettait en place. La noblesse canadienne a-t-elle accepté de s’allier à l’élite anglaise ?
La société canadienne de 1760 était une société normale composée de gens dotés de l’instinct de survie et de capacités d’adaptation dont les Tarieu de Lanaudière sont un bel exemple.
À l’époque de la Nouvelle-France, les de Lanaudière, seigneurs et militaires, ont fait fortune. La Conquête britannique de 1760 force l’élite de la colonie à faire un choix : rentrer en France ou s’adapter. Les Tarieu de Lanaudière choisissent de rester. Favorisés par le gouverneur Carleton, ils récolteront privilèges et honneur, multiplieront et cumuleront les postes.
Pourtant, n’avaient-ils pas perdus le patronage du roi de France ? N’étaient-ils pas privés de leurs émoluments d’officiers et des revenus tirés du commerce des fourrures? De plus, une nouvelle élite se mettait en place. La noblesse canadienne a-t-elle accepté de s’allier à l’élite anglaise ?
La société canadienne de 1760 était une société normale composée de gens dotés de l’instinct de survie et de capacités d’adaptation dont les Tarieu de Lanaudière sont un bel exemple.