TY - SER KW - Séguin, Maurice, 1918-1984 KW - Québec (Province) Historiographie Congrès KW - Canada Historiographie Congrès KW - Historiens Québec (Province) Congrès AU - Robert Comeau AU - Josiane Lavallée AB -

Depuis un demi-siècle, le Québec a pris position à un carrefour, face à deux solutions : l’assimilation ou l’indépendance. L’historien Maurice Séguin qualifiait jadis ces deux voies d’impossibles. Le temps lui donnera-t-il raison?

Perçue comme une histoire noire, sa réinterprétation rigoureuse de l’histoire des deux Canadas a permis de prendre la juste mesure d’une survivance dans la dépendance.

En rupture polie avec Groulx, Séguin a été adulé par des générations d’étudiants qui l’ont reconnu comme un véritable maître. Puis l’histoire politique fut écartée par de jeunes historiens qualifiés de révisionnistes qui optèrent pour une approche sociale et, aujourd’hui, par des postmodernes intéressés surtout par la dimension culturelle.

Est-ce à dire que Séguin était soudainement dépassé? Réunis lors d’un colloque tenu à Montréal en octobre 2005, quelques spécialistes ont tenté de mieux cerner Maurice Séguin comme théoricien de l’indépendance et penseur de la modernité québécoise. Leur lucidité et leur enthousiasme méritaient d’être diffusés. De toute évidence, Maurice Séguin n’a pas dit son dernier mot. Heureusement.

Pour faire le point sur la pensée et l’influence de Maurice Séguin, Robert Comeau et Josiane Lavallée ont retenu, en plus de leurs propres textes, ceux de Michel Bock, Frédéric Boily, Pierre Trépanier, Gilles Bourque, Éric Méchoulan, Denis Monière, Pierre Tousignant, Michel Allard, Julien Goyette, Andrée Ferretti, Réal LaRochelle, Mathieu Bock-Côté et Sébastien Parent. L’éditeur-historien Denis Vaugeois a signé la préface.

C1 - FC/151/S44/H57/2006 N1 - Textes présentés lors d'un colloque tenu à l'Université du Québec à Montréal les 13 et 14 oct. 2005. Comprend des réf. bibliogr. N2 -

Depuis un demi-siècle, le Québec a pris position à un carrefour, face à deux solutions : l’assimilation ou l’indépendance. L’historien Maurice Séguin qualifiait jadis ces deux voies d’impossibles. Le temps lui donnera-t-il raison?

Perçue comme une histoire noire, sa réinterprétation rigoureuse de l’histoire des deux Canadas a permis de prendre la juste mesure d’une survivance dans la dépendance.

En rupture polie avec Groulx, Séguin a été adulé par des générations d’étudiants qui l’ont reconnu comme un véritable maître. Puis l’histoire politique fut écartée par de jeunes historiens qualifiés de révisionnistes qui optèrent pour une approche sociale et, aujourd’hui, par des postmodernes intéressés surtout par la dimension culturelle.

Est-ce à dire que Séguin était soudainement dépassé? Réunis lors d’un colloque tenu à Montréal en octobre 2005, quelques spécialistes ont tenté de mieux cerner Maurice Séguin comme théoricien de l’indépendance et penseur de la modernité québécoise. Leur lucidité et leur enthousiasme méritaient d’être diffusés. De toute évidence, Maurice Séguin n’a pas dit son dernier mot. Heureusement.

Pour faire le point sur la pensée et l’influence de Maurice Séguin, Robert Comeau et Josiane Lavallée ont retenu, en plus de leurs propres textes, ceux de Michel Bock, Frédéric Boily, Pierre Trépanier, Gilles Bourque, Éric Méchoulan, Denis Monière, Pierre Tousignant, Michel Allard, Julien Goyette, Andrée Ferretti, Réal LaRochelle, Mathieu Bock-Côté et Sébastien Parent. L’éditeur-historien Denis Vaugeois a signé la préface.

PB - Sillery, Québec : Septentrion, 2006 PY - 2006 SN - ‎2894484879 EP - 185 p. ; 23 cm TI - L’historien Maurice Séguin : théoricien de l’indépendance et penseur de la modernité québécoise ER -