TY - THES AU - Majella Quinn AB -

L’intensification récente des relations franco-québécoises va-t-elle susciter la création, et surtout l’application d’un programme d’investissements soutenu et progressif de la part des gouvernements en cause? Va-t-on plutôt assister à l’expression artificielle de bons sentiments entre deux cousins se sentant coupables l’un envers l’autre de ne pas rechercher de plus fréquentes rencontres?

L’actualité de ces questions a d’abord éveillé chez nous le désir de connaître plus à fond l’histoire des relations entre la France et le Québec depuis la « conquête ». Les recherches entreprises par un groupe d’historiens, dont MM. Jean Hamelin et Yves Roby, sur l’histoire économique du Québec de 1851 à 1900, le désir d’apporter notre contribution à cet effort collectif ont influencé ensuite le choix des deux principales limites imposées à nos recherches sur le sujet : limite d’abord imposée par l’économique, limite ensuite imposée par la deuxième moitié du 19e siècle.

Grâce aux précieuses indications fournies dans le volume de Bernard Bonin, L’investissement étranger à long terme au Canada (1), dans l’Histoire de la Province de Québec de Robert Rumilly, dans les cours sur l’Histoire économique et sociale du Québec de Jean Hamelin (2), nous avions au départ les principaux jalons pouvant guider nos recherches. Nous avons le sentiment d’avoir « raconté », développé ces jalons relativement vagues qui nous étaient donnés par ces chercheurs sur les investissements français au Québec, au cours de la deuxième moitié du 19e siècle.

Les sources nécessaires à la rédaction de ce travail ont été consultées aux bibliothèques de la Législature provinciale du Québec, de l’Université Laval, de Saint-Sulpice, à la Bibliothèque Nationale de Paris, aux archives de la province de Québec et du Ministère des Affaires étrangères à Paris.

CY - Québec DA - 1968 N2 -

L’intensification récente des relations franco-québécoises va-t-elle susciter la création, et surtout l’application d’un programme d’investissements soutenu et progressif de la part des gouvernements en cause? Va-t-on plutôt assister à l’expression artificielle de bons sentiments entre deux cousins se sentant coupables l’un envers l’autre de ne pas rechercher de plus fréquentes rencontres?

L’actualité de ces questions a d’abord éveillé chez nous le désir de connaître plus à fond l’histoire des relations entre la France et le Québec depuis la « conquête ». Les recherches entreprises par un groupe d’historiens, dont MM. Jean Hamelin et Yves Roby, sur l’histoire économique du Québec de 1851 à 1900, le désir d’apporter notre contribution à cet effort collectif ont influencé ensuite le choix des deux principales limites imposées à nos recherches sur le sujet : limite d’abord imposée par l’économique, limite ensuite imposée par la deuxième moitié du 19e siècle.

Grâce aux précieuses indications fournies dans le volume de Bernard Bonin, L’investissement étranger à long terme au Canada (1), dans l’Histoire de la Province de Québec de Robert Rumilly, dans les cours sur l’Histoire économique et sociale du Québec de Jean Hamelin (2), nous avions au départ les principaux jalons pouvant guider nos recherches. Nous avons le sentiment d’avoir « raconté », développé ces jalons relativement vagues qui nous étaient donnés par ces chercheurs sur les investissements français au Québec, au cours de la deuxième moitié du 19e siècle.

Les sources nécessaires à la rédaction de ce travail ont été consultées aux bibliothèques de la Législature provinciale du Québec, de l’Université Laval, de Saint-Sulpice, à la Bibliothèque Nationale de Paris, aux archives de la province de Québec et du Ministère des Affaires étrangères à Paris.

PB - Université Laval PP - Québec PY - 1968 EP - 129 TI - Les capitaux français et le Québec, 1855-1900 ER -