@phdthesis{434, author = {David Vachon}, title = {« Don’t do that Jos! » : les homicides à Québec entre 1880 et 1930}, abstract = {
Entre 1880 et 1930, la ville de Québec est considérée comme un endroit paisible avec très peu de violence. Cette croyance découle en grande partie de la situation socio-économique qu’on y retrouve à l’époque. La réalité est pourtant bien différente, particulièrement lorsque l’on se penche sur la question des homicides. Québec enregistre des taux d’homicides tout à fait similaires à ceux de grandes villes européennes comme Londres ou Liverpool. Les homicides répertoriés à Québec, comme partout ailleurs, impliquent majoritairement des hommes dans la force de l’âge, et prolétaires. Cependant, une particularité des homicides à Québec est que ceux-ci sont commis majoritairement par des résidents canadiens-français, et non des étrangers. Les crimes perpétrés sont caractérisés par l’utilisation des armes à feu, particulièrement des revolvers. Finalement, on assiste à ce que l’on pourrait appeler une « privatisation » de la violence alors que les homicides se déroulent de plus en plus à l’intérieur de la demeure familiale.
}, year = {2008}, pages = {119}, month = {2008}, publisher = {Université Laval}, address = {Québec}, url = {http://hdl.handle.net/20.500.11794/20251}, }